"Franz et les Louise... rencontre improbable"...
Et aussi réelle qu'agréable pour les personnes invitées à assister à un nouveau collage de Rue Meurt d' art (donc le PGC avait déjà parlé ici).
(pix by Paris-émoi)
(Franz, en préparation dans l'atelier de RMD)
Et aussi réelle qu'agréable pour les personnes invitées à assister à un nouveau collage de Rue Meurt d' art (donc le PGC avait déjà parlé ici).
(pix by Paris-émoi)
(Franz, en préparation dans l'atelier de RMD)
Là où la plupart des artistes de rue posent rapidement et souvent seuls, Rue Meurt d'Art, dont les collages parisiens restent aussi rares que magnifiques, décide d'en faire un véritable évènement, un moment de partage festif et artistique, à consommer sans modération aucune...
C'est donc sous un superbe soleil et devant une quarantaine de personnes que RMD posa son premier collage sur les trois prévus, un Kafka presque juvénile, écrivain devenu lui-même personnage, presque ébloui par tant de lumière, lui qui passa sa vie à explorer les plus sombres recoins de l'absurdité humaine...
(pix by Paris-émoi)
Un mur se prépare, passage des Récollets, comme une caresse avant de l'habiller d'un voile...
(pix by Tat)
C'est donc sous un superbe soleil et devant une quarantaine de personnes que RMD posa son premier collage sur les trois prévus, un Kafka presque juvénile, écrivain devenu lui-même personnage, presque ébloui par tant de lumière, lui qui passa sa vie à explorer les plus sombres recoins de l'absurdité humaine...
(pix by Paris-émoi)
Un mur se prépare, passage des Récollets, comme une caresse avant de l'habiller d'un voile...
(pix by Tat)
Et l'oeuvre n'est encore qu'une ébauche de sourire dans les mains de l'artiste...
(pix by Tat)
Puis se déploie, à l'instar de l'artiste, tel Harold Lloyd accroché à sa pendule...
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(pix by Cxl)
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(pix by Thias)
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(pix by Paris-émoi)
"Un humain ne se construit pas du bas vers le haut mais de l'intérieur vers l'extérieur"
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(pix by Tat)
Puis se déploie, à l'instar de l'artiste, tel Harold Lloyd accroché à sa pendule...
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(pix by Cxl)
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(pix by Thias)
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(pix by Paris-émoi)
"Un humain ne se construit pas du bas vers le haut mais de l'intérieur vers l'extérieur"
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Quelques mètres plus loin, square Saint-Laurent, les Louise attaquent...
Louise Brooks.... L'actrice fétiche de RMD fait l'objet d'un beau doublé, toujours aussi poétique...
(pix by Thias)
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(pix by Paris-émoi)
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(pix by Tat)
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(Pix by Paris-émoi)
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(pix by Paris-émoi)
Louise Brooks.... L'actrice fétiche de RMD fait l'objet d'un beau doublé, toujours aussi poétique...
(pix by Thias)
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(pix by Paris-émoi)
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(pix by Tat)
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(Pix by Paris-émoi)
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(pix by Paris-émoi)
Dans la bulle de gauche: " Leur réalisme est un chaos, osons nos utopies, osons nos "rêvolutions" "
Dans la bulle de droite: " On nous méprise tellement... et pourtant on est si précieux, si fragiles, si uniques"
A la parution d'une image de cet évènement sur Paris-émoi, Rue Meurt D'art a écrit:
" ... cette reconnaissance de mon travail est le plus grand privilège que l'on me donne et le plus beau retour qui soit, puisqu'avant tout ces images, ces textes sont pour vous, pour tous, et à partager entre nous afin que nos villes soient remplies de nos rêves et de nos espoirs, de nos réflexions, ainsi que de nos révoltes saines et salvatrices; l'espace urbain est un espace citoyen, et non pas commerçant, n 'est-il pas grand temps qu'on s'en saisisse?"
Surement qu'un grand nombre d'artistes de rues a cette philosophie mais peu l'expriment avec autant de simplicité et d'humanité....
Merci à RMD et à sa famille, ses amis pour ce moment unique ...
Ce billet ne parle que du moment de collage en lui-même.
Il y avait également la lecture publique de Chrixcel, un poème tout emprunt de mystère, sur Louise Brooks et un extrait de la "Métamorphose", l'oeuvre majeure de Kafka, jouée par la compagnie de Baptiste Mallek.
Dans la bulle de droite: " On nous méprise tellement... et pourtant on est si précieux, si fragiles, si uniques"
A la parution d'une image de cet évènement sur Paris-émoi, Rue Meurt D'art a écrit:
" ... cette reconnaissance de mon travail est le plus grand privilège que l'on me donne et le plus beau retour qui soit, puisqu'avant tout ces images, ces textes sont pour vous, pour tous, et à partager entre nous afin que nos villes soient remplies de nos rêves et de nos espoirs, de nos réflexions, ainsi que de nos révoltes saines et salvatrices; l'espace urbain est un espace citoyen, et non pas commerçant, n 'est-il pas grand temps qu'on s'en saisisse?"
Surement qu'un grand nombre d'artistes de rues a cette philosophie mais peu l'expriment avec autant de simplicité et d'humanité....
Merci à RMD et à sa famille, ses amis pour ce moment unique ...
Ce billet ne parle que du moment de collage en lui-même.
Il y avait également la lecture publique de Chrixcel, un poème tout emprunt de mystère, sur Louise Brooks et un extrait de la "Métamorphose", l'oeuvre majeure de Kafka, jouée par la compagnie de Baptiste Mallek.
3 commentaires:
une journée agréable à laquelle je n'ai pas pu m'attarder, ravi de voir la suite ici
waaaa que c'est beau
malgré que ce soit un peu trop fleur bleu pour moi..
c'est tellement poétique, vrai et simple et efficace...
vraiment joli!
j'espère pouvoir un jour me calmer et arriver à tant de poésie..
je suis trop énervé pour l'instant et préfère dire nike samer sarko, nike samer les institutions et faire du graffiti débile mais un jour viendra ou mes peintures seront plus proches de mes poèmes!
isiiiis les PGC encore un beau billet!
big up la famille
Bravo Francis pour ce beau billet tout en sensibilité, et comme le dit Snez tout en poésie;) l'art de rue c'est aussi ça, celui qui colle sur les murs, celui qui réécrit la rue comme sur un palimpseste, est un poète lui aussi !
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