Suite du
billet de Cxl sur les Moskos dans le 18ème, rue d'Aubervilliers.
L'art urbain est un art éphémère... certains pochoirs, graffs restent sur certains murs mais souvent les artistes, tels que
Moskos, Némo ou Mesnager, posent sur des murs qui s'apprêtent à disparaitre.
Philippe nous envoie les mêmes en plein chantier, avant démolition.... Merci !
6 commentaires:
c'est toujours un crève coeur de vos disparaitre ces graffs, mais c'est aussi la loi du genre...l'art éphémère par excellence !
bravo et merci à Tatiana & à Mosko
grrrrrr... l'effet tigre
Beau reportage !
C'est toujours émouvant de voir ces oeuvres urbaines disparaître sous les gravats.
Nous avons la chance de les avoir admirées.
Mosko et associés : à suivre à la trace !
toujours un pur bonheur de retrouver les Moskos, même quand on les voit disparaître...
magie douce cirquesque et fragilité des ces apparitions, j'adore leur monde.
merci pour ces potos.
BB
C'est toujours un plaisir d'admirer un Mosko et ce n'est pas sans un pincement au coeur qu'on voit leur créatures emportées dans le flots des démolitions, ils ont été là le temps de redonner beauté et espoir aux murs,et ce tigre qui sait déjà que la page est tournée ne dirait-on pas qu'il s'en va d'une démarche nonchalante... Peut-être que quelqu'un l'a aperçut partir lorsque le dernier coup de pelleteuse est tombé...
Merci de m'avoir fait participer à ce post.
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