25.3.09

By Bonom



Un artiste en quête d'hauteur...

Croiser un Bonom, ça se mérite !
Car pour voir ses incroyables peintures et collages muraux, il ne sufit pas de se balader nez au vent, mais aussi marcher les yeux au ciel !


Depuis maintenant plusieurs années, à l'instar des Moskos, Bonom repeuple la ville avec son bestiaire fantastique, poissons, cigognes, dinosaures, éléphants...



On peut passer longtemps à côté d'un Bonom sans s'en rendre compte, tant l'artiste sait confondre son oeuvre avec le paysage... Comme ces serpents bellevillois, qui de loin, ne font penser qu'à des fissures bouchées comme il y en a tant sur nos vieux murs...

Parfois même, l'oeuvre est tellement énorme qu'elle en devient presque "invisible", comme la cigogne de ce bâtiment bruxellois...



Et souvent la hauteur et la virtuosité de son travail (de plus en plus majestueux avec le temps...) nous rappellent que nous sommes de bien petites choses dans la jungle urbaine...



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Question récurrente : "Mais comment a-t-il fait??"

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Photos et texte par Paris-émoi
D'autres images ici et chez Tat

4 commentaires:

Chrixcel a dit…

Oui, c'est souvent ce qui nous époustoufle avec Bonom : à échelle humaine, il y a une prise de risque certaine mais pour un résultat magistral !

Thias a dit…

superbe billet f, avec des pièces que je n'avais jamais vu

Anonyme a dit…

tres belle prods!
c'est fou, mais alors comment fait il?? ,-)
du legal?
g

Anonyme a dit…

Effectivement étonnant ce Bonom et il doit bien faire ses repérages avant d'attaquer les façades en se servant souvent d'échafaudages de restauration des bâtiments .. mais je me demande souvent comment sait-il que l'échafaudage sera démonté le lendemain et qu'il ne risque pas de se faire effacer son oeuvre .. m'enfin .. ça restera un mystère de Bonom ;)))